Je n’ai pas réussi à copier le texte sur le site, mais voici le lien. Allez le lire c’est un texte magnifique de Stéphane Laporte.
http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/stephane-laporte/201606/18/01-4993283-saimer.php
Je n’ai pas réussi à copier le texte sur le site, mais voici le lien. Allez le lire c’est un texte magnifique de Stéphane Laporte.
http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/stephane-laporte/201606/18/01-4993283-saimer.php
Voici une belle vidéo d’ Isabelle Padovani qui explique bien le sens de la gratitude et comment l’exprimer en mode communication coeur à coeur (CCC ). L’humain est un être de contribution de par sa nature profonde. Exprimer sa gratitude à quelqu’un en lui disant en quoi son geste ou ses paroles répondent à un besoin en nous, apporte à cette personne une dimension plus profonde qu’un simple merci ou « tu es gentille ». Cette forme de gratitude est beaucoup plus riche et nous donne le goût de contribuer d’avantage. Je vous laisse donc visionner cette vidéo et bon ronronnement !
Un besoin universel qu’on l’on oublie souvent est le deuil. Peut-être serez-vous étonnés d’apprendre que le deuil fait partie des besoins. Eh oui ! Nous sommes familiers avec lui lorsqu’il est question de la perte d’une personne ou d’un animal que nous aimons. Mais dans notre vie, nous sommes confrontés à une multitude de petites morts. Depuis que j’applique l’art de vivre qu’est la communication coeur à coeur (CCC), j’ai réalisé que je n’avais pas encore complétement fait certains petits deuils comme par exemple, d’avoir le corps dont je rêvais, la famille telle que je l’avais imaginée, la relation de couple idéale… J’ai donc choisi de le faire en accueillant avec bienveillance les parts de moi qui résistaient.
Faire le deuil de nos croyances, de nos préférences et de nos idéaux est essentiel pour être heureux, pour s’ouvrir à la vie et à la nouveauté. Tant que nous demeurons attachés à nos formes pensées, nous entretenons la souffrance ! Nous sommes alors dans la survie!
Faire tous ces petits deuils, nous permet d’accueillir la vie telle qu’elle est et de vivre réellement. Suivre le mouvement de la vie et danser avec elle en la laissant nous guider, nous apporte de la douceur. Je ne dis pas que c’est toujours facile, mais allons-y petits pas par petits pas et peut-être qu’un jour, arriverons-nous à valser !
Voici une courte vidéo d’une personne qui est un guide pour moi, Isabelle Padovani. Dans cette vidéo, elle partage comment elle accueille ses émotions avec empathie. L’empathie est la présence à soi et l’espace de bienveillance existant en chacun de nous.
Puisque qu’une image vaut mille mots, je vous laisse vous familiariser avec un aspect à la base de la communication CNV ou CCC.
Bonne écoute !
Extrait du livre : « Les mots sont des fenêtres (ou des murs) » p: 180
Pour exprimer pleinement notre colère en CNV, le premier pas est de dégager l’autre personne de toutes responsabilité dans cette colère. Il faut tout d’abord reconnaître que l’autre ne porte en rien la responsabilité de NOS émotions. Nous écartons toutes pensées du type : « Il ou elle m’a mis en colère en faisant ceci ou cela ». – qui n’aboutissent qu’à exprimer superficiellement sa colère à cause de ce que quelqu’un d’autre a fait. Nous pouvons voir que son comportement a déclenché notre colère, mais il est indispensable de bien distinguer entre la cause et le facteur déclenchant.
Marshall témoigne:
» J’ai tiré un enseignement mémorable à cet égard en travaillant dans un foyer de réinsertion pour enfants dans le Wisconsin. Il m’arriva deux jours de suite le même incident: je reçus un coup sur le nez. La première fois, je pris un coup de coude en essayant de séparer deux élèves. J’étais si furieux que je dus me retenir pour ne pas riposter! Dans les rues de Détroit, où j’ai grandi, il en fallait bien moins pour me mettre en rage. Le deuxième jour, dans la même situation, je repris un autre coup – au même endroit, ce qui fut donc plus douloureux encore. Pourtant, je n’éprouvai aucune colère.
Ce soir-là, en repensant sérieusement à cet incident, je me rends compte que j’avais intérieurement donné au premier petit garçon l’étiquette de « sale gosse ». J’avais déjà cette image de lui à l’esprit avant même que son coude ne m’atteigne. Au moment du choc, je n’avais pas simplement ressenti le coup de coude, mais je m’étais dit: Ce sale gosse se croit tout permis!. Je considérais en revanche le second enfant comme un « pauvre gamin paumé ». Et comme j’avais tendance à m’Inquiéter pour lui, je ne ressentis aucune rage malgré mon nez qui saignait et me faisait encore plus mal la veille. Cette expérience m,a vraiment aidé à comprendre que ce ne sont pas les actes d’autrui, mais l’Image et les interprétations que nous avons à l’esprit, qui provoque notre colère. »
Qu’est-ce qu’un processus symbolique ? Les participants sont invités à revivre une situation problématique du passé et à changer le « scénario » en posant des actions différentes.
Cet acte psychosymbolique a pour but de « pacifier » la situation porteuse d’émotions refoulées provenant de l’enfance ou plus encore et de reprogrammer l’histoire passée.
La reprogrammation se fait par des jeux de rôle et par la CCC.
Quand : samedi le 17 février de 9 h à midi
Où : St-Jean-sur-Richelieu paroisse NDL
Coût : 30,00 $
Pour détails et inscription contactez :
Isabelle 450-346-6858 ou Marie Danielle 514-647-5785
Bienvenue à tous !
Nous offrons nos services afin de vous aider à développer un mode de communication avec vos enfants ou votre conjoint(e) qui vous permettra de garder un lien de qualité avec eux.
Si vous avez répondu « oui » à l’une ou l’autre de ces questions,
contactez-nous !
Nous avons une solution pour vous !
La communication cœur à cœur peut être la réponse à vos questions.
Pour information ou pour prendre rendez-vous :
Isabelle 450-346-6858 ou Marie Danielle 514-647-5786
L’empathie c’est le pouvoir d’accueil que possède tout être humain face à une situation. C’est la force de compassion qui nous permet de nous relier à l’autre sans nous identifier à sa souffrance. C’est une qualité d’écoute et de présence à l’autre.
La séance d’empathie permet de se donner un espace de sécurité pour exprimer ce qui a besoin de l’être, de se faire entendre et enfin de mieux comprendre les enjeux intérieurs dans cette situation.
Ses effets : La détente et le calme intérieurs
Nous vous offrons une rencontre où il vous sera possible de recevoir cette empathie qui est au cœur de la communication cœur à cœur en petit groupe.
Quand : dimanche le 11 février de 9 h à midi
Où : St-Jean-sur-Richelieu
Coût : 30 $
À qui ça s’adresse ?
Pour inscription ou détails contactez :
Isabelle 450-346-6858 ou Marie Danielle 514-647-5786
Le rôle de parent n’est pas toujours évident. Il n’existe pas de cours 101 ou un texte écrit d’avance avec les bonnes répliques à dire au bon moment comme au théâtre. La vie effrénée des adultes : Le métro, le boulot, la performance… celle des enfants : L’école, les devoirs, les cours de ci de ça fait que nous arrivons le soir tous épuisés de notre journée et notre bombonne de patience et d’empathie est vide. Nous avons du mal à communiquer et à faire des demandes de façon claire et sans exigences.
Nous agissons souvent comme nous avons été éduqués avec toute la meilleure volonté du monde. Il est évident que tout parent veut bien faire. Mais notre manière habituelle d’interagir avec nos enfants peut souvent créer des conflits et faire en sorte que notre relation parent\enfant s’effrite.
-Faire des demandes et créer les conditions propices pour qu’elles soient entendues,
est-ce possible?
-Eduquer sans punitions ni récompenses, est-ce possible ? Est-ce réaliste?
À ces trois questions, je réponds un OUI ferme et sans équivoque.
Apprendre à communiquer, ça s’apprend, tout comme on apprend à jouer du piano.
Dans nos ateliers bâtis en fonction des parents et des couples, vous apprendrez entre autre, par des jeux de rôle, à communiquer différemment et à exprimer vos besoins et à entendre ceux des autres.
Si vous avez le goût d’agir autrement et de recréer un climat familial agréable, Inscrivez-vous à nos ateliers du samedi à partir du 10 février de 9 h à midi.
Voir détails sur le site sous l’onglet « famille »
En 2017, j’ai suivi une formation en médiation échelonnée sur un an. Cette formation m’a apporté beaucoup sur le plan personnel, car j’ai toujours eu à cœur de vivre des relations les plus harmonieuses possible.
Ce printemps, J’ai eu la chance de vivre une médiation avec un membre de ma famille. Les membres de notre famille, même si nous les aimons beaucoup, sont souvent ceux qui nous déclenchent le plus facilement. Donc, en cordonnier bien chaussé que je suis, j’ai proposé à cette personne de vivre une médiation afin de pouvoir nous exprimer dans un espace de respect et de calme. Elle a heureusement accepté.
Il y a plusieurs types de médiations. La plupart sont axées sur la résolution des désaccords en trouvant des stratégies. Contrairement à ces dernières, celle que j’ai apprise et vécue est basée sur l’approche de la CNV de Marshall Rosenberg. Ce type de médiation met l’accent sur l’expression et l’écoute des valeurs ou des aspirations profondes de chacun qui sont cachées sous les émotions.
Lors de cette rencontre, nous avons finalement pu nous rencontrer à ce niveau et ainsi se relier à ce qui était précieux chez l’autre. Nous avons réalisé que nous avions la même aspiration ou besoin, mais que notre stratégie pour combler cette aspiration était à l’opposé. Le tout fut réglé dans l’instant suivant.
Ce qu’il y a de merveilleux avec ce type de médiation, c’est que les solutions sont durables. Je suis pleine de gratitude pour cette belle expérience.
Isabelle